Les Italo-tunisiens ou Italiens de Tunisie sont une colonie d’Italiens émigrés en Tunisie principalement au cours des xixe et xxe siècles. Ils étaient plus de 100 000 au début des années 1900 mais ne sont plus maintenant que quelques milliers.
Histoire des Italiens en Tunisie
Les premiers Italiens à s’installer en Tunisie sont les Génois (Tabarquins) qui occupent l’île de Tabarka, près de la côte septentrionale de la Tunisie, dans le but de pêcher le corail local et d’établir une base pour leurs activités commerciales. L’île appartient ainsi à la famille génoise des Lomellini entre 1540 et 1742.
Au xvie siècle, de nombreux Juifs émigrent de Livourne vers Tunis. Ils lancent des échanges commerciaux avec l’Italie qui dureront jusqu’à l’époque napoléonienne. À l’orée du xixe siècle, ce sont de nombreux réfugiés et exilés, au nombre desquels un certain Giuseppe Garibaldi, qui viennent grossir les rangs des Italo-tunisiens.
Une fois réalisée l’unification italienne, on enregistre une émigration notable de Siciliens à destination de la Tunisie, à tel point que ceux-ci représentent alors jusqu’à 70 % de la communauté d’origine italienne du pays et font des Italo-tunisiens l’ethnie d’origine européenne la plus importante. L’occupation de la Tunisie par la France, à compter de 1881, marque le début d’une période d’assimilation graduelle autant que forcée des populations d’origine italienne.
Les Français considèrent en effet les Italo-tunisiens comme un danger, y faisant référence par l’expression de « péril italien » en raison des visées coloniales du gouvernement italien sur la Tunisie. La présence des Italiens au sein de la société tunisienne et dans sa réalité culturelle et commerciale était telle que Laura Davi, dans ses Mémoires italiennes en Tunisie, écrit que « la Tunisie est une colonie italienne administrée par des fonctionnaires français ».
Benito Mussolini, pour des motivations nationalistes, apporte un large soutien aux Italo-tunisiens, construisant des écoles et hôpitaux, créant également des banques et des organisations à but humanitaire à leur intention. Bien que nombre d’Italiens de Tunisie soutiennent eux-mêmes le mouvement fasciste, lorsque les forces de l’Axe occupent le pays à compter de novembre 1942, aucun d’eux n’accepte de rejoindre les unités militaires combattant les Alliés. La victoire alliée en Tunisie en mai 1943, à l’issue de la campagne de Tunisie, marque le début de la dispersion de la communauté italienne : les Français menés par Charles de Gaulle ferment immédiatement les écoles et journaux d’expression italienne. Dans les années 1950, les Italo-tunisiens subissent les conséquences de la guerre d’indépendance lancée par les Tunisiens contre la France et sont contraints d’émigrer en masse, d’une manière comparable au sort qui attendra les Français de Tunisie et d’Algérie notamment, et plus généralement les populations européens confrontées à la décolonisation.
Selon le recensement effectué par les autorités du protectorat français en 1926, les Européens sont alors au nombre de 173 281 dont 89 216 Italiens, 71 020 Français et 8 396 Maltais. En 1946, on recense 84 935 Italiens en Tunisie, 51 702 en 1959 et moins de 10 000 en 1969. En 2003, ils ne sont plus qu’environ 3 000, dont à peine 900 descendent directement des immigrants du début du xixe siècle, concentrés principalement dans la zone urbaine de Tunis.
Gifle de Tunis
La « gifle de Tunis » (schiaffo di Tunisi en italien) désigne l’humiliation subie par l’Italie en 1881 de la part des Français qui établissent un protectorat sur la Tunisie, mettant ainsi un terme aux visées coloniales de l’Italie sur le territoire.
L’Italie avait signé le 8 septembre 1868 un traité avec la Tunisie qui, pour une durée de 28 ans, régulait le régime des capitulations. L’accord international garantissait à la Tunisie des droits et privilèges et une immunité envers divers États pré-unitaires italiens. La communauté italienne conservait sa nationalité d’origine et ne dépendait de la juridiction consulaire qu’en matières civile, commerciale et juridique et non en matière immobilière, cette dernière étant placée sous la juridiction des tribunaux du bey de Tunis. L’alliance civile assurait aux Italiens la liberté de commerce et un privilège unique d’extraterritorialité pour leurs établissements. En matière de pêche et de navigation, ils bénéficiaient du même traitement que les Tunisiens. Enfin, le bey ne pouvait modifier les tarifs douaniers sans, au préalable, consulter le gouvernement italien.
Le principal objectif de politique étrangère visé par le gouvernement de Benedetto Cairoli était la colonisation de la Tunisie que se disputaient la France et l’Italie. Cairoli, comme l’avait fait Agostino Depretis avant lui, ne se résolut pas à procéder à une occupation, étant en général hostile à une politique militariste. Il croyait en outre que la France pouvait faire face à l’opposition du Royaume-Uni, hostile à l’élargissement de la sphère d’influence française en Afrique du Nord. En fait, le Royaume-Uni était d’une manière générale hostile à l’idée qu’une seule puissance puisse contrôler le canal de Sicile dans son ensemble.
C’est dans ces circonstances que le gouvernement italien se laisse surprendre, le 12 mai 1881, lorsque les Français imposent le protectorat à la Tunisie par la signature du traité du Bardo. Ces événements sont ultérieurement vus comme une confirmation de la faiblesse des positions internationales de l’Italie et renforcent les polémiques consécutives au congrès de Berlin. Ils démontrent en outre la dimension velléitaire de la politique de Cairoli et Depretis, l’impossibilité d’une alliance avec les Français et la nécessité d’un rapprochement avec Berlin et, par conséquent, Vienne.
L’inversion de sa politique étrangère durant la décennie passée ne pouvant être laissée aux mains des mêmes hommes politiques, Cairoli reconnait la nécessité de sa démission qu’il remet le 29 mai 1881, évitant ainsi que la Chambre des députés ne l’évince définitivement. Il disparait malgré tout de la scène politique à la suite de cette crise.
L’opportunité manquée d’occupation de la part du Royaume d’Italie entraîne, dans les décennies suivantes, une prédominance progressive de la communauté française au détriment de la communauté italienne en Tunisie.
La Goulette : un bourg « italien » en Tunisie
Le bourg de La Goulette, à dix kilomètres au nord-est de Tunis, est emblématique de la présence italienne en Tunisie. Il se développe à partir du milieu du xviiie siècle en tant que quartier, par extension, de la capitale à la suite de l’arrivée, du départ en de faibles proportions, d’immigrés maltais et siciliens. Ces derniers sont issus en majorité des provinces de Palerme, Trapani et Agrigente. Ces nouveaux arrivants sont attirés par les opportunités de travail liées aux activités maritimes et portuaires. Le nom originel du quartier, La Goletta, est probablement dû au fait que le visiteur se trouve pris dans un petit « conduit » (gola en italien) fluvial et lui a été donné par les premiers occupants d’origine italienne avant d’être francisé en « goulette ». À partir de 1868, année de la signature du traité tuniso-italien de La Goulette qui encourage l’immigration en Tunisie, l’arrivée des Italiens se fait de plus en plus massive jusqu’à assumer la portée d’authentiques vagues d’immigration qui changent la physionomie de la ville. En effet, durant ces années-là, les États-Unis sont encore un but trop difficile à rallier pour les Siciliens et autres Maltais à la recherche de la fortune. C’est pourquoi le flux migratoire se rabat sur la Tunisie voisine. La très grande majorité de ces colons — qui sont journaliers, artisans, mineurs et pêcheurs — arrive à La Goulette dans une situation de substantielle misère.
Toutefois, en seulement quelques décennies, les Italiens se relèvent de cette indigence et deviennent majoritaires au sein la ville, donnant vie au quartier de La Petite Sicile (à ne pas confondre avec le quartier homonyme de Tunis).
Entre temps est fondée une chambre de commerce (1884), la Banca Siciliana, le quotidien L’Unione et d’autres organismes culturels et d’assistance dédiés aux Italiens (théâtres, cinémas, écoles et hôpitaux). Les nouveaux venus vivent ainsi pacifiquement aux côtés de la population autochtone. Par ailleurs, les deux communautés se mélangent en partie par l’intermédiaire de mariages mixtes. Dans ce contexte de cosmopolitanisme animé, les interactions culturelles sont fréquentes, tant au niveau vestimentaire ou traditionnel que dans la solennité religieuse. Ce métissage est d’ailleurs immortalisé dans le film Un été à La Goulette de Férid Boughedir. Si les Italiens de Tunisie sont déjà près de 25 000 en 1870, ils sont 89 216 à l’occasion du recensement de 1926, parmi lesquels une partie résident à La Goulette.
En 1964, quand le président Habib Bourguiba ordonne la saisie des terres agricoles possédées par des étrangers, ces derniers prennent le chemin de l’exil. Les Italiens de La Goulette, n’ayant que des documents français, n’ont d’autre choix que de chercher une nouvelle vie en France où ils vont s’ajouter aux Pieds-Noirs en provenance d’Algérie. Les quelques vestiges du passé européen de La Goulette sont l’église Saint-Augustin-et-Saint-Fidèle, quelques maisons portant l’inscription liberty et quelques phrases en dialecte sicilien restées dans la mémoire des plus anciens Tunisiens. Il reste pour maintenir un lien avec la terre natale de beaucoup d’exilés, Il Corriere di Tunisi, périodique né en 1956 et diffusé outre-mer auprès de la diaspora de La Goulette dont la plus célèbre représentante est l’actrice Claudia Cardinale, qui prend la route du succès après avoir son élection en 1957 comme la plus belle Italienne de Tunis.
Héritage italien en Tunisie
La présence italienne en Tunisie a laissé de nombreuses traces, de la construction de rues et d’édifices aux domaines de la littérature, de l’industrie, du commerce, des finances et de la gastronomie. De petites agglomérations comme La Goulette, à proximité de Tunis, ont été pratiquement intégralement construites par les Italo-tunisiens. À Tunis et Bizerte, il existe encore aujourd’hui des « quartiers siciliens ».
Bien que contraints à l’exil au cours des années 1950 et 1960, les Italiens ont laissé une empreinte importante en Tunisie. Conséquemment, la langue arabe locale a emprunté de nombreux mots ou expressions à l’italien.
Italo-tunisiens célèbres
Voici une liste non-exhaustive présentant quelques personnalités d’origine italo-tunisienne :
- Claudia Cardinale, actrice internationale ;
- Niccolò Converti, personnalité politique et éditeur ;
- Antonio Corpora, peintre ;
- Laura Davi, écrivain ;
- Cesare Luccio, écrivain ;
- Attilio Molco, avocat et fondateur de la société Dante Alighieri tunisienne ;
- Nicola Pietrangeli, champion de tennis, vainqueur de la Coupe Davis ;
- Mario Scalesi, poète et écrivain ;
- Sicca Venier, poète et écrivain;
- etc.
Bonjour ,
je suis née en Tunisie à Kledia à l’époque 1937.
j’aimerais savoir comment je peux retrouver l’arrivé de mes grand-parents :Mon grand père WERNER Edouard né en 1866 il venait de Marseille . je ne sais pas la date de son arrivée à Tunis.
auriez vous une piste pour retrouver la date de son arrivée?
bien cordialement J Randazzo née Werner
Cerco informazioni, documenti, foto …sui miei antenati e congiunti Lo Forte – Sabatino nati cresciuti e sepolti a Tunisi tra 1880 e il 1940
1892/3 Giuseppe Lo Forte I (1845), suo figlio Giuseppe Lo Forte II (1872), Ludovico Curcio II e sua figlia Serafina Curcio si trovano a Tunisi.
13/09/1893 Giuseppe Lo Forte II sposa Serafina Curcio (figlia di Ludovico Curcio II e Francesca Crimi, mentre nell’atto di nascita era indicata come figlia di madre ignota) a Tunisi
i figli di Giuseppe Lo Forte II e Serafina Curcio (hanno avuto 16 figli, di cui però solo 7 sono sopravvissuti);
09/03/1896 Rosina Lo Forte (Tunisi) (morta nel 1898)
1898 Ninfa Lo Forte sposa Giovanni Ferrisi a Sfax (Tunisia)
02/01/1900 Giuseppe Lo Forte III (Tunisi) (poi sposato con Concetta Gugliotta, nel 1921)
05/01/1903 Rosina Maria Lo Forte (Tunisi) (poi sposata con Gioacchino Adornetto nel 1927)
14/01/1906 Francesca Lo Forte (Tunisi) poi sposata con Giusepope Cassarà.
22/12/1907 Giovanna Lo Forte (Tunisi) (morta)
07/03/1910 DomenicaLo Forte I (Tunisi) (morta a sedici mesi, il 20/06/1911)
04/03/1912 MariaLo Forte (Tunisi) (prime nozze con Bernardo Rallo (1929 a Tunisi, poi Lorenzo Marconi, nel1933 in Libia)
29/ 01/ 1914 Ludovico Lo Forte (mio nonno) (Tunisi)
22/07/1916 Giovanna Lo Forte (Tunisi) sposata con Giovanbattista Giglio nel 1933 a Tunisi
27/09/1919 Salvatore Nazzareno Lo Forte (Tunisi) (nato morto)
19/12/1920 Domenica Lo Forte (Tunisi) sposata con Giuseppe Bonafine, nel 1938 a Tripoli
14/12 1904 muore Giuseppe Lo Forte I a Tunisi
07/ 08/ 1910 Matrimonio Maria Lo Forte sposa Tommaso Sabatino (mio bisnonno)
1913 La famiglia Sabatino/Lo Forte é residente in Via Tauteana n° 13 a Tunisi.
i figli di Tommaso Sabatino e Maria Lo Forte
08/10/1908 Salvatore Sabatino (Tunisi)
09 /11/1910 Rosa Sabatino (Tunisi) (sposata con Giovanni Lampione nel 1929 a Tunisi)
30/01/1913 Maria Catalda Sabatino (Tunisi) (muore appena nata)
04/11/1914 Giuseppe Sabatino (Tunisi) (sposato poi con Rosa Agnello nel 1940 a Tunisi)
18/09/1916 Maria Antonia Sabatino (mia nonna) (Tunisi)
02/01/1920 Giovanni Battista Sabatino (Tunisi) (morto nel giugno 1920)
01/ 01/1923 Giovannina Sabatino (Tunisi)
02/ 01 /1928 Domenico Sabatino (Tunisi)
08/06/1934 Guido Sabatino (Tunisi)
1929 Giovanni Lampione sposa Rosina Sabatino a Tunisi, Tunisia.
1924 Muore a Tunisi il trisnonno Ludovico Curcio II
20/06/1933 matrimonio Giovanna Lo Forte Giovanbattista Giglio
09/12/1934 muore Tommaso Sabatino a Tunisi, Tunisia
1934 28 Aprile Ludovico Lo Forte si presenta spontaneamente al Consolato italiano di Tunisi per assolvere agli obblighi militari, ma viene dispensato perché nato e residente all’estero.
25/12/1936 Maria Antonia Sabatino sposa Ludovico Lo Forte.
i figli di Ludovico Lo Forte e Maria Antonia Sabatino
1937 Serafina Lo Forte (Tunisi)
1938 Giuseppe Antonio Lo Forte (Tripoli) (mio padre)
1941 Tommaso Lo Forte (Tripoli)
1943 Claudio Lo Forte (Vittoria)
1945 Matilde Lo Forte (Vittoria)
1946 Irene Lo Forte (Tortona)
1952 Elvira Lo Forte (Bologna)
1957 Roberta Lo Forte (Bologna)
Bonjour
Je suis née en Tunisie et je recherche aussi l’arrivé de mes arrières grand parents en Tunisie sous le nom de Manuguerra Nicolo et Tatone Emilia ?? mon G père Alexandre (o) est né en Tunisie et à épousé Martorana Rosalie elle aussi originaire de Trapani !!
Son père : Martorana Nicolo à épousé Giaimo Rosaria
Tous venaient de Sicile ( Trapani – Favignana )
Je sais que je n’ai pas beaucoup de renseignements !! mais peut être que quelqu’un pourra m’aider !!
Merci d’avance ,en attendant de vous lire
Cordialement Jacqueline né Robis épouse Ripaux
Cordialement
Bonjour à tous.
Mon Grand Père (Marcel Blanc) retraité de la SNCF Habitait Tunis, rue de Bretagne au 74.
Il été propriétaire d’un cinéma (le seul) à St Germain maintenant Ezzara.
Je recherche des photos de ce cinéma, j’ai quitté la Tunisie suite aux problèmes qui nous ont obligés à quitter ce pays qui nous manque tant et qui représente mes racines puisque j’y suis né.
Tous renseignements seront les bienvenus pour que je puisse laisser des souvenirs à mes enfants et petit-enfants
Chaude amitié à tous les déracinés. Pierre
Bonjour ! Avec “quelque retard”, vous aurez au moins une réponse, même si elle ne vous satisfera certainement pas !
En effet, je suis né et ai grandi à Tunis, mais ma grand mère habitait Saint Germain (à l’époque), devenu Ez-Zhara, et j’ai passé une partie de mon enfance, notamment au beaux jours dans ce qui était alors une jolie petite ville balnéaire !!
Mon père (dcd) travaillait également aux Chemins de fer tunisiens !! Et nous habitions rue Courbert (devenue rue de Palestine)
J’ai le souvenir du Casino et du cinéma de Saint Germain, mais je ne peux en dire plus, car trop vague dans l’esprit du gamin que j’étais alors et j’en suis désolé. Mes grands-parents avaient leur maison située juste derrière la poste. La seule chose que je puisse vous dire, d’aprés des cousins qui y sont revenus il y a quelques années, c’est que “mon”, “notre” Saint Germain, celui de votre Grand père et le Ez-zhara d’aujourd’hui n’ont plus grand chose en commun!! Même la magnifique plage a presque disparue !!
Amitiés Tuniso-siciliano-française – François DE FEO
bonjour je viens de tomber sur votre message je ne pourrais malheureusement pas vous aidez mais la coincidence veut que mes parents ont vecu au 50 de la rue de Bretagne famille italienne les D’Anna si vos parents peut s’en rappeler?
Bonjour,
Je recherche aussi des éléments concernant les familles BASIRICO – LAZZARA ou BELLADONNA originaires de SICILE TRAPANI PACECO.
Ils ont vécus TUNIS notamment rue de ROM. J’ai trouvé quelques éléments sur GENEANUM mais je suis rapidement bloquée. Si vous connaissez des sites pouvant m’aider je suis preneuse. Merci
Bonjour
Mes arrières grands parents se sont mariés en Tunisie en 1898, Mon arrière grand père est originaire de Sicile Province Trapani , de San Vito le Capo.
Pourriez vous m’aider et m’indiquer comment je peux me procurer leur acte de mariage.
Merci
bonjour Jacqueline Meda
Pour obtenir un acte de mariage, décès naissance en Tunisie d’un italien, il vous faut écrire par mail à l’archevêché de Tunis. si vous voulez un acte intégral, il vous faut demander soit une copie, et préciser acte intégral. Chaque acte est à 6.10 et vous ne pouvez avoir l’acte une fois payé. Moi je passe par ma banque et à chaque fois je “douille”. La banque pour ce transfert d’argent me ponctionne 16€. Donc demandez plusieurs actes à la fois (j’y ai investi une somme considérable mais c’est un choix).
Je vous mets l’adresse mail de l’évêché.
eveche.tunisie@evechetunisie.org
Normalement ils sont très gentils et rapides
Bonnes trouvailles, mais surtout faites un regroupement d’actes.
Prenez soin de vous
Jacqueline QUARTARARO DESRE
Bonjour Jacqueline,
Je viens de lire votre message.
En allant sur Antenati, vous pouvez trouver l’acte de mariage.
Je vous mets le lien du registre pour San Vito de capo l’année 1898, à vous de chercher après l’acte si vous trouvez le nom de votre grand père.
http://dl.antenati.san.beniculturali.it/v/Archivio+di+Stato+di+Trapani/Stato+civile+italiano/San+Vito+lo+Capo/Matrimoni/1898/007835116_00242.jpg.html?g2_imageViewsIndex=0
Bonjour
Comment puis je me procurer un acte de mariage ou naissance de Sousse mes grands Parents et Arrière grands parents sont originaires de Sousse italo tunisien.
Merci pour votre aide
Bonjour,
Je suis une petite fille d’immigrés italo-tunisien et je fais mon arbre généalogique.
Mon grand père s’appel Sposito Pierre, ses parents sont Madeleine Licavoli et Sposito Salavator tous les trois nées à Tabarka mais d’origine sicilienne.
Ma grand mère s’appelait Martinico Marie-Claire, son père serait angelo (ange) Martinico née probablement en tunisie et sa mère Ninfa Caruso née en Lybie, tous les deux d’origine sicilienne aussi.
Si quelqu’un peut m’aider en me disant ou chercher ou si une personne connait ma famille, je vous en serai très reconnaissant.
Je fais une recherche de généalogie pour une amie: son grand père Carlo ou Charles Leone est né à Tunis le 22.12.1913 sans notification de filiation sur la naturalisation . J’ai d’autres personnes susceptibles être soeur Catherine. J’aurais voulu avoir l’acte de naissance me permettant de remonter.
Bonjour. Le nom de mon grand-père était Jacques Torre, fils de Pietro Torre et Lucrezia Ettore. Jacques est né dans la capitale de Tunis le 16 mai 1889 et a combattu pendant la Première Guerre mondiale.
Ses parents étaient italiens de Trapani et ont émigré en Tunisie vers 1885.
Jacques Torre, a épousé Léa Clotilde Gamarra à Philippeville, Algérie et a eu une fille nommée Mireille Torre.
Les liens vers l’acte de mariage de Jacques Torre sont les suivants : https://es.geneanet.org/registros/view/346783/18
Sur cet acte de mariage, le nom de Charles Chabien figurait d’abord, puis, par ordonnance du tribunal, l’officier Rossi inscrivit le nom de mon grand-père, Jacques Torre, dans la marque de gauche. Cela semble être une usurpation d’identité. Charles Chabien a existé et a également fait la guerre.
Dans l’acte de mariage, il est indiqué que Charles Chabien s’est enrôlé dans le régiment numéro trois, les Zouaves, mais après avoir consulté le livre d’histoire de ce régiment, les deux personnes n’y étaient pas inscrites.
D’après les photos présentées dans le lien ci-dessous, Jacques Torre a d’abord été recruté dans un régime d’origine italienne, il a été transféré dans un régime en France en Algérie, d’où il a été envoyé en Europe pour combattre pendant la Première Guerre mondiale.
J’apprécie toute information obtenue de mon grand-père, Jacques Torre, en particulier connaissant son dossier militaire entre 1914 et 1918.
J’ai cherché sur tous les sites militaires disponibles sur la Première Guerre mondiale et je n’ai pas pu trouver mon grand-père.
Les photos de mon grand-père sont dans le lien suivant :
https://drive.google.com/drive/u/0/folders/1pY4rlst_3jw6tCo90v1CuIuVKPJ6iMI1
Sur la photo JacquesTorre2.jpg mon grand-père voit un uniforme militaire italien. Sur le reste des photos, il portait un uniforme anglais, identifié comme le zouave algérien.
Mon grand-père a survécu à la guerre.
Tout cela est un mystère.
Merci beaucoup